dimanche 25 avril 2010

Garoroxx

vd
Cruel dilemme:

Garorock: n.m; Brouillard épais où se lie repères temporels incertains et substances colorées aux propriétés édulcorantes.

Si ces quelques jours pouvaient se résumer en un seul mot, celui-ci serait: Popof.
J'emmerde ceux qui pensent/disent que Popof, c'est de la minimale bon marché entièrement dictée par son expérience des free-parties.Popof, c'est Tortank qui utilise hydrocanon sur Dracaufeu, c'est super efficace.Un de ces Dj qui arrive à vous croire que vous êtes VRAIMENT dans une montée permanente avant de vous achever avec son beat monstrueux dont il est seul détenteur du secret.Pendant 1h30, une faille spatio-temporelle s'était ouverte dans le festival, l'élite était là, au grand complet.Et le voici, portant un chapeau, le sourire aux lèvres, assenant des breaks tous plus puissants les uns que les autres à son public de simples mortels déjà suffisamment atteints.Popof serait-il un génie ?


N'oublions pas Archive pour sa capacité à vendre du rêve à tout bout de champ (malgrès un son dégueulasse), Poni Hoax qui déboite, We have band a bien compris comment réchauffer son public; Raggasonic avec sa fumée verte, Scratch Pervert pour le quart d'heure disco/dubstep du festival, Ghinzu = Muse de Origin of Simmetry, Java n'a pas pris une ride, Wax tailor après une très longue attente, Mr Oizo qui aime bien faire n'importe quoi.
Mention spécial au mec qui a passé 20 minutes de Beethoven en free party, respect.

Les regrets: Le matos, Noob et Popof sur la même tranche horaire [...]

Les beurks du festival: Crookers, un set prévisible et chiant au possible; Pendulum (en Dj Set), grosse déception.

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